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Le livre Le château de ma mère

vendredi 11 février 2005, par Allaudien




Messages

  • salut je mapelle Nadia et jaimerais le résumé en détail du livre "Le château de ma mère"de l’auteur Marcel Pagnol

    • Bonjour Nadia

      Voici ce qu’avait écrit Escaouprés sur l’ancien forum
      C’est l’histoire vraie d’un petit garçon, qui vivait en Provence au début du siècle. Il était très intelligent, sensible et avait beaucoup d’imagination. Ainsi jamais il ne fit faire ses devoirs par Internet. Bref, il aimait bien sa maman. Pour lui, elle était toujours restée jolie et jeune mais hélàs de santé fragile. Et le petit Marcel de vouloir tout naturellement la protéger, voire la délivrer de ce château imaginaire qui emprisonne souvent les princesses, tel le chevalier Bélérophon terrassant le dragon. Ce dragon était incarné par un méchant gardien de château (celui de la Buzine, je crois) et son horrible chien baveux. Ils avaient terrorisé la pauvre Augustine, et humilié Joseph -père de Marcel, en leur dressant un procès-verbal pour avoir traversé les terres du "Baron d’agneau" (ce n’est pas son vrai nom, c’est un jeu de mots ironique dans l’histoire).
      En effet, la famille Pagnol prenait souvent un raccourci commode en longeant, à pied, le canal qui traversait (et qui traverse toujours) d’immenses propriétés, pour aller dans leur cabanon de vacances aux Bellons. Joseph avait obtenu un double de la clé par Bouzigue, le piqueur du canal, un de ses anciens élèves. Mais ce jour là, le gardien avait mis une chaîne sur la dernière porte, celle qui les séparait des vacances tant rêvées et des belles collines. Ils étaient pris au piège. Augustine en perdit même connaissance et Joseph se voyait déjà révoqué, car il était instituteur.

      Devenu adulte, écrivain et cinéaste de talent, Marcel achètera sans le savoir ce château pour l’aménager en studio de cinéma. En le visitant, il est pris d’un malaise et éprouve le besoin de prendre l’air. En marchant au hasard, il aperçoit soudain le canal derrière le rideau d’arbustes, la maudite porte qui symbolisait l’humliation de son père et le cauchemard d’Augustine, le château où sa mère était restée comme en prison, celle de la peur et de la honte, était encore là, quoiqu’à moitié pourrie. Il la défonça d’un coupe de pied.

      La morale de cette belle histoire, c’est que même dans l’enfance la plus heureuse (et le récit des vacances aux Bellons est merveilleux), il y a toujours des souvenirs et pénibles, des fardeaux que l’on transporte malgré soi, tel des pénitents, et c’est ici le fardeau de sa chère mère. Même si Pagnol est un écrivain foncièrement positif et n’en parle qu’à demi-mots, Le Château de ma mère, est une oeuvre de la faiblesse et de la détresse humaine devant l’impermanence du monde et des êtres qui nous sont chers.

      "Comme on est faible quand on est dans son tort !" avait gémit Joseph.

      Fais en bon usage et bienvenue à toi

    • j’aimerai connaitre le nom du chien du gardien svp :)

  • "Oh collègue" : Avec cette façon d’appeler Marcel dans un style purement provençal, Lili des Bellons, le petit paysan semble être l’ami d’enfance révé ; celui dont on se souvient plus tard, peut-être comme dans un rêve, mais avec des souvenirs d’adultes plein de trous à reboucher.

    Dans le chateau de ma mère, c’est cette amitié là qui est soulignée, celle ci qui a permis à Marcel de contruire Pagnol, peut-être plus vite qu’il n’aurait aimé avec la disparition du soldat David Magnan en 1918 à Vrigny (Marne).

    Comme il était bon d’être ado et d’avoir un ami, un frère, et d’avoir l’insousciance du temps qui passe.

  • Vladimir Cosma a composé beaucoup de musique de films de Pagnol, elles apportent chacune leurs parfums de Provence et leurs images de films, mais il en est une qui sonne différement et semble apporter plus : la musique du chateau de ma mère.
    L’introduction est au piano, accompagné ensuite de violons, et le rythme lent est bien marqué, il nous fait prendre du recul et l’on se retrouve là comme à la fin du film, attablé sous le figuier de la Bastide Neuve à admirer le regard de cette mère fragile, à se rappeler les souvenirs dans les collines et prendre la teneur du temps qui passe et qui comme les grains de sable nous file entre les doigts.

    Et les souvenirs qui restent sont comme ces notes de musique, des instants trop courts mais biens marqués par le temps.

    • Ah cette musique !
      Allez tiens une petite annecdote permettant de penser que Pagnol est dans la mémoire collective.
      Ma nièce (née il y a bientot trente ans) a été attirée par la musique sortie de l’ordinateur, non pas que ce soit une nouveauté mais que la musique lui disait quelque chose.

      Elle s’approche, écoute plus attentivement, rien ne vient, elle cherche dans ses souvenirs mais ne trouve pas quelle est cette musique ni quelles sont les raisons de sa curiosité sur cette musique si prenante.
      Je lui montre une photo en noir et blanc, et aussitot elle bafouille, la gloire de mon .... puis corrige Le Chateau de ma mère !

      Bien voilà, sur la photo qui date de 1917, il y a une route qui se separe en deux voies, avec une croix à l’intersection. Sur la route qui vient de droite, il y a un TramWay.

      (L’intersection est celle des Camoins, la route de droite va à Eoures, celle de gauche monte à la Treille )

    • Oui, Allaudien, quelle formidable musique a composé là V. Cosma. On sait tous que la bande-son est particulièrement importante dans le cinéma, car un film, si bon soit-il, qui n’a pas de bonne musique pour l’accompagner, n’auras pas le même succès ; et il faut reconnaitre que là, la musique "colle" merveilleusement bien aux images.
      J’ajouterais que, ayant vu les deux films tant et tant de fois, que la musique m’est devenue aussi familière que les répliques, et qu’il suffit que je me passe cette musique, pour qu’aussitot, je sois transporté sur les barres de saint esprit ou dans le vallon de passe-temps, en fermant les yeux, et ce, même au fond de mon métro le matin quand je part au boulot. :bras
      Amicalement, et félicitation pour ton site. Francis

    • Je crois comprendre que vous possédez certaines de ces bandes-originales ?
      Serait-il possible pour vous de m’en envoyer ?

      J’attends votre réponse et vous enverrais mon adresse mail si réponse il y a !

      Merci par avance
      Marine.

    • je suis comme Marine j’aimerais bien recevoir des musiques du film

      quelqu’un en possède t-il ?

      merci de nous contacter

  • En lisant le château de ma mère, il est fait mention de quatre propriétés que traversaient les Pagnol, après avoir quité la station du Tramway de la Barasse, mais sur le terrain l’autoroute semble nous faire penser que le chemin a été complètement détruit, alors que les propriétés sont là. :pensif
    Voici donc le lien de l’article,
    Du Château Saint Antoine au Château de la Buzine
    venez ensuite en discuter ici.

    Voir en ligne : Du Château Saint Antoine au Château de la Buzine

    • Oui, le chemin a certainement été détruit, le temps est passé et le paysage s’est transformé, comme la bastide neuve d’ailleurs...
      Il faut vraiment faire attention, parce que l’on pourrait passer a coté sans s’en rendre compte, il a un bar juste a côté et des travaux ont été faits, la bastide est plus grande maintenant,l’original à été gardée mais il y a un autre pan de mur plus moderne...
      C’est dommage, ça gache un peu...

    • Les cartes ont été mises à jour coté présentation avec le chemin des vacances

      Ainsi le chemin du canal entre le Château Saint Antoine et la Valentine devient une piste plus sérieuse, invalidant le fait que Pagnol ait un jour vu le château Régis de près.

      Si ce château est pris pour celui de La Belle Au Bois Dormant avec ses tours façon Chenonceau, Pagnol et sa famille n’y sont pas passés au pied pour rejoindre Le bar des Quatre Saisons, la carte montre que le parcours éventuel est plus long via l’est.

      Y a t’il un bout du canal de Marseille proche de Régis et Réynarde permettant aux Pagnol d’y traverser les propriètes.
      Il semblerait que Pagnol nous ait joué des tours ...

    • Nulle part il est fait mention des deux lions de bronze encadrant l’allée qui mène au chateau (lequel ?) Or cette prise de vue a été tournée à Vidauban et avec au fond de l’allée la bâtisse que l’on peut encore voir. quelques notes sur les site de "Vidauban"

    • Je ne suis pas le fil du "chemin" par manque de temps. mais on ne dit rien du décor du chateau "d’Astros" de Vidauban et ça me "chatouille" car on voit bien les deux lions dans le film. Ce chateau d’Astros a servi de décor au tournage du film en 1990 par Yves Robert. Alors ? il faudrait aller y voir !!

    • C’est effectivement le château de Vidauban qui a servi au tournage.

      Voir en ligne : Lieux de tournage

    • Ce qui est dommage, c’est que ce château n’est pas ouvert au public. Par contre, comme c’est un domaine vinicole, vous pouvez allez déguster les vins qui ont bonne réputation. A savoir qu’à côté de ce château, il y a le Vieux château d’Astros, également domaine vinicole.

    • Bonjour, que pensez vous de l’ancien chateau des Vaudrans, , créé en 1904 et detruit en 1978 qui etait situé sur le site de la Valentine ? Aurait il pu faire partie des chateaux que nommait Pagnol ?

    • Sauf erreur de ma part, ce château des Vaudrans était situé dans les collines de la Salette, au dessus de la Valentine.

      Si c’est celui auquel je pense , il est au delà du circuit qui mène de la barrasse à la bastide neuve.

    • Je viens de prendre connaissance de votre dossier que j’ai trouvé passionnant.
      J’essaie d’apporter ma contribution à la solution du mystère.

      Le récit de Pagnol est une reconstruction. L’imagination y a sa part, mais elle s’appuie sur les éléments forts de la réalité qui ont fait une si vive impression sur la sensibilité de l’enfant Marcel.
      Trois de ces éléments jouent, me semble-t-il, un rôle essentiel :
      Le canal et l’enchantement de la promenade sur ses berges.
      Les portes fermées à clé, bien plus impressionnantes pour les enfants que pour les adultes, obstacle visuel et émotif autant que pratique.
      Les trois châteaux en enfilade dont la famille était obligée de suivre longuement les murs, avec leur part de mystère et de crainte.
      Le dernier de ces châteaux était incontestablement la Buzine et, derrière, on voit bien en effet sur la carte que s’ouvrait le chemin qui , ô merveille, donnait directement sur les Quatre-Saisons.
      je dirai plus loin pourquoi je crois que le premier était le château Montgrand, le deuxième étant le château Régis. La Reynarde, un peu plus à l’Est, n’était probablement pas sur le trajet..
      Seulement, on ne peut pas trouver tous ces éléments sur un seul et même trajet. Ce qui laisse penser que la famille a dû tester plusieurs itinéraires, et que la reconstruction finale est un mélange de ces expériences.

      Le premier itinéraire partait certainement de la gare de la Barasse, terminus du tramway .
      Ce tramway circulait sur la route nationale. Je ne crois pas pour autant que la famille ait pris, vers l’Est, cette route nationale, comme vous le supposez. L’endroit était horriblement rébarbatif et ne pouvait servir de support à l’enthousiasme de personne. D’ailleurs, le trajet eût été ainsi bien long
      Il est plus probable qu’elle descendait aussi vite que possible, plein Nord, vers l’Huveaune qu’elle traversait sur un pont. Il en existait plusieurs et je ne peux pas situer lequel elle choisissait. Après le pont, elle trouvait l’obstacle du mur du canal. Cet obstacle, au début, elle devait le contourner, par l’Ouest peut-être, par l’Est plus probablement. Peut-être rencontrait-elle ainsi les murs du château Saint-Antoine et peut-être est-ce la clé de ce château que Bouzigue lui a donnée ? L’épisode de l’affreux garde se serait passé ici ( et pas à la Buzine) Je n’arrive pas à reconstituer ce qu’a dû être cet itinéraire qui, en l’absence de la clé salvatrice, était, d’après Marcel, très long. Le plus probable est qu’après un détour plus ou moins grand, il rejoignait votre itinéraire n°2 et montait ensuite lentement vers les Quatre-Saisons.
      Il n’est pas exclu cependant que, déportant la famille vers l’Est, il ait abouti derrière le château Montgrand, situé sur le territoire de la commune de Saint-Menet, dont elle aurait donc dû suivre les murs. Vous ignorez ce château parce qu’il a disparu. Il était situé à l’emplacement de l’actuelle usine Nestlé, Nestlé ayant acheté le domaine après la guerre et démoli le château pour construire son usine. J’ai de son existence de multiples témoignages que je ne peux pas développer ici. A ce point, l’itinéraire se confondrait avec celui que je décris ci-dessous

      La famille a en effet, plus que probablement, testé ce deuxième itinéraire, beaucoup plus court. Il emprunte à votre schéma n°1, mais avec des différences importantes.
      D’abord, on ne partait plus de la gare de tramway de la Barasse. La famille allait prendre à la gare ( ferroviaire) Saint-Charles qui n’était pas beaucoup plus loin de son domicile que la gare ( de tramways) de l’Est, le train Marseille-Aubagne-Toulon.
      Cette ligne qui comptait de nombreux arrêts desservait toute la vallée de l’Huveaune. En l’absence de voitures particulières c’était le moyen de jonction normal des villages entre eux et avec les deux villes d’Aubagne et de Marseille
      Les Pagnol descendaient à la gare de Saint-Menet. Elle est facile à localiser sur vos cartes. Elle se situe au milieu de la partie Nord-Sud de votre trajet n°1, sur l’Avenue de la Gare qui joignait, en passant par-dessus l’Huveaune et la voie ferrée, La Millière à Saint-Menet. La famille laissait à gauche le château Montgrand et gagnait l’extrémité de l’Avenue de la Gare. Là, elle n’avait aucune raison de faire, comme vous le pensez, un détour vers l’Ouest et la Valentine. Elle n’avait qu’à prendre, en face d’elle la Traverse des Ecoles, ou peut-être la Montée de Saint-Menet qui, toutes les deux, débouchaient sur la Traverse de la Buzine. Elle longeait les murs du château Régis, puis ceux de la Buzine que la traverse du même nom contournait et elle débouchait dans le chemin des Quatre- Saisons. Ces traverses répondent bien à la description des « petits chemins bordés de murs »
      Cet itinéraire respecte la succession des trois châteaux. Il ne rend pas nécessaire de traverser leurs terres et d’ailleurs, il n’y a pas, là, le canal. Une chose est certaine : La clé de Bouzigue n’ a pas ouvert les portes de la Buzine, mais cela n’interdit pas que le cinéaste Pagnol ait, plus tard « reconnu » dans un éblouissement la propriété qu’il venait d’acheter et qui l’attendait depuis son enfance. Si c’est cet itinéraire que la famille a, en définitive adopté, alors il faut admettre que l’épisode de Bouzigue et de la clé se situe du côté de l’imaginaire, ce qui ne serait pas particulièrement surprenant.

      Il n’y a qu’en supposant que ces deux itinéraires ont été testés que l’on peut rassembler tous les éléments clé de l’histoire. La mémoire et la sensibilité de Marcel ont construit un récit bien plus vivant et, en définitive, bien plus véridique que ne l’aurait été une sèche énumération d’éléments disparates.
      Ce qu’a été la solution choisie par Joseph, avec ou sans l’aide de Bouzigue, nous ne pouvons pas le savoir et, en définitive, peu importe.

      J’espère que ces quelques éléments d’information complémentaires vous intéresseront et que d’autres contributions nous feront encore progresser

      Je ne peux m’empêcher d’ajouter un commentaire désolé : sur ces quelques kilomètres, nous avons rencontré cinq châteaux, Saint-Antoine, Montgrand, Régis, La Buzine et la Reynarde, qui nous ont rappelé quelle espèce de vallée de la Loire au petit pied était alors la vallée de l’Huveaune. Ô Marcel, ô mes grands- parents, ô mon père, comme vous avez bien choisi le temps de votre présence parmi nous !

    • Merci pour cette riche contribution et ce Château Montgrand qui ne manquera pas d’initier de nouvelles recherches.

    • J’ai vécu dans le ChÂteau Vaudran de 1951 à 1962. Je confirme qu’il ne se trouvait pas sur le chemin emprunté par la famille Pagnol. Situé au fond de l’impasse des Vaudrans à La Valentine, il ne débouchait sur rien. La traversée (pénible par un chemin pierreux à grande montée) finissait sur le chemin Enco-de-Botte aux Trois-Lucs.

    • Bonjour à tous

      je viens de connaitre votre site.

      le restaurant les quatre saisons s’appelle auberge la guerine a CABRIES et j’y vit.
      Un de mes employes a assisté au tournage.
      J’ai mis deux jolies photos a l’entrée qui plaisent beaucoup

      A bientôt

      patrick

    • De quel tournage s’agit il ?

      - Au restaurant des quatre saisons des Acates, près de la treille ?

      - ou à Cabriès sur la route de Calas ?

    • Hélas avec le temps qui passe et les témoins de l’époque qui disparaissent, il est de plus en plus difficile de trouver la vérité vraie sur ce fameux chemin de Pagnol.
      On sait que Pagnol savait enjoliver les histoires pour en faire des contes et la réalité s’éloigne ainsi d’autant du réel.

      Peut-être que Nicolas Pagnol possède encore ces différents secrets de son grand-père et qu’il les conserve dans l’intimité familiale comme l’on gardait secret le lieu d’une source.

      Aujourd’hui, les suppositions font référence et elles sont nombreuses. Elles ne deviennent la réalité du moment pour autant que des personnes y croient, mais au fond cela n’amène rien d’autre que d’essayer d’apporter sa pierre à l’édifice de la connaissance de Pagnol.

      Pagnol était comme ci ou comme ça. Certes, chacun voit dans Pagnol ce qu’il veut y trouver et par ce point de vue Pagnol touche à l’universel.
      C’est à dire qu’il peut alors être enrichi de points de vue autres, et c’est cela qui est le plus important et qui rend Pagnol si intéressant.

      Quel est alors alors votre point de vue à vous sur cet itinéraire, cette route possible ?

    • Le château Vaudran ne fut pas créé en 1904 mais en 1880 par un certain JOUVIN, armateur marseillais. Il faut détruit moins de 100 ans plus tard. Mal construit et peu entretenu, il avait logé des générations de squatters misérables (dont votre serviteur de 1951 à 1962)
      Au départ il s’agissait d’un domaine de 14 ha qui fut ensuite transformé en un énorme domaine de plusieurs centaines d’hectares, tous dans Marseille. Un immense mur de clôture courait le long de ce domaine sur des kilomètres de guarrigues (peu d’arbres avaient survécus à l’incendie de 1957 qui avait détruit le clocher du château Vaudran)

    • j’ai connus ce fameux château dans les années de 1956 a 1958 ou j’habiter la propriété au dessous , j’allais a l’école avec eux et nous montions souvent avec mes frères pour nous amuser avec les enfants locataire du château de bon souvenir car enfant on réalise pas la détresse mais avec recul j’imagine !!!!!j’ai visitée les caves et vue les messages a leurs familles des prisonniers malheureusement a l’époque pas d’appareil photo pour perpétuer mais le château je l’oublierais jamais !!!!!!

  • Bonjour !

    Je suis en train de préparer un cours de littérature française avec l’oeuvre Le Château de ma mère, de Marcel Pagnol, mais avant de commencer, j’aimerais savoir qui est ou ce que c’est la "Tête Rouge" citée en majuscules dans cette oeuvre sur l’extrait suivant :

    " Sur la Tête Rouge, que l’on devinait dans l’ombre, une grosse planète était pendue comme une lanterne, si proche que l’on croyait voir l’espace derrière elle. "

    Si quelqu’un de vous peut m’élucider, merci, merci, merci.

  • Je serais curieuse de voir à quoi elle ressemblait en réalité, j’ai cherché sur le net, j’ai réussi a trouver quelques esquisses de Joseph mais rien sur Augustine !!
    Quelqu’un aurait une photo ou un dessin ?
    Je sais que ce n’est pas évident, à cette époque, les appareils photo n’étaient pas en vente libre, mais bon je garde espoir...

  • Bonjour ! J’ai adodré les 2 films de Yves robert et tt particulièrement la musique composé par Wladimir Cosma ! Voila je recherche un morceau de piano (moi-même en jouant) joué par Isabelle dans Le chateau de ma mère , celui ou Marcel colle son oreille contre le piano ! Est-ce que quelqu’un les aurait et serait d’accord de me les envoyer ? je vous laisse mon adresse email : AURE87@aol.com Merci d’avance !

  • Bonjour, J’ai besoin d’avoir le résumé du livre le château de ma mère

    Le résumé doit avoir + ou - 20 lignes.

    svp si vous avez ce résumé veuillez répondre a ce message. merci.

    Merci d’avance

    .Pauline Saint Pierre.

    Voir en ligne : le chateau de ma mère

    • Bonjour Pauline

      Il n’y a pas sur ce forum de réponse possible à une demande de résumé d’une oeuvre de Pagnol. "Le chateau de ma mère" est un épisode trop important dans l’oeuvre de Pagnol pour se passer d’une lecture. Ecrivez donc votre résumé, avec vos mots, vos expressions et vivez cette oeuvre, ne vous contentez pas d’un "résumé" : Pagnol ne se résume pas, il se lit.

      Et lorsque vous aurez lu "Le chateau de me mère", vous aurez envie d’y mettre les pieds, allez ouvrir cette porte !

    • c’est étrange de voir le nombre d’"utilitaires" sur ce site. Ici, on partage la passion Pagnol. Pour faire ses courses, il y a Lesombre !

  • Bonjour :)
    Est-ce vous savez comment on peut résumer le roman dans une (ou deux) phrase(s) ?
    Je ne me débrouille pas, mais je doit écrire un résumé pour l’école et il manque une introduction.
    J’espère que vous pouvez m’aider.
    Carrey

    • Je vois que cela n’as inspiré personne. C’est normal. Comment résumer ces livres en deux phrases ? C’est pas un pisse-copie, c’est Pagnol. Quelle abomination que de seulement envisager une telle perspective. Et tout cuit en plus, le résumé, mais du Pagnol, c’est comme pour les bartavelles, cela demande qu’on y consacre le temps nécessaire.

  • Le château de la Buzine, en cours de réhabilitation sous les coups de crayon d’André Stern, va de nouveau voir le jour, mais dans des habits neufs.
    Les travaux ne sont pas terminés et semble nt prendre du temps, comment vivez vous alors cette période ?
    Vous attendez de voir le résultat final et écouterez alors ce qu’en disent presse et média, ou vous allez de temps en temps voir l’avancement des travaux et discutez avec votre entourage de la tournure des évènements ?

    Passionnés, à vos plumes !

  • Commentaire qui s’apparente plutôt à une question :
    Au sujet du parcours démarrant de la Barasse j’ai remarqué dans le DVD du film ‘’Le château de ma mère’’ à 10 minutes 45 secondes de son début que Joseph Pagnol dépliait le plan de celui-ci. Plan sans doute établi pour les besoins du film mais très certainement sous la dictée de Georges Berni. Celui-ci ayant été l’ami très proche de Marcel Pagnol il a donc eu obligatoirement, enfin on peut légitimement le supposer, accès aux archives de Marcel et, il n’est peut-être pas stupide d’en déduire que ce plan de parcours comporte tout ou partie du mystère en ce qui concerne le trajet canal/château(x) menant au bar des ‘’quatre saisons’’
    Il est peut-être possible qu’un des lecteurs de ce site soit en possession d’une copie, ou a fait une démarche pour en obtenir une, si oui quel en est le résultat ? Ou bien le plan apparaissant dans le film est une piste à écarter ! Merci de l’avis pertinent des abonnés du présent site.

  • bonjour
    je veux que quelqu’un me donne une adresse de site web pour télécharger le livre (le château de ma mère) s il vous plait.

    • Bonjour,

      Il n’est pas possible de télécharger ce livre, car il n’est pas encore dans le domaine public. Il faut attendre 70 ans à partir du décès de son auteur. Marcel Pagnol étant décédé en 1974, ce n’est pas pour tout de suite.

      Si un tel site existait il enfreindrait la loi et devrait rapidement fermer.

      Sur internet il existe des sites de vente en ligne, vous devez pouvoir commander, y compris du Maroc.

    • Bonjour "attouk"
      je ne découvre votre demande que ...4 ans plus tard ! mais si vous revenez par hasard sur ce forum "attouk" je vous adresse une réponse qui pourra peut être préventivement servir à d’autres éventuellement comme vous dans la demande et un peu trop "pressés" dans leur formulation. Pour s’assurer une réponse(quelle qu’elle soit) il vaut mieux écrire "j’aimerais s’il vous plaît", plutôt que "je veux" qui n’est sûrement pas... la bonne clef (de la politesse !) pour se faire ouvrir ouvrir les portes d’un inconnu familier à d’autres pouvant nous apporter leur aide.
      Les savoirs ou les impressions se partagent en convivialité et en toute courtoisie, et nul n’est aux ordres de personne ! Ceci dit on trouvefacilement ce livre n’importe où, à prix très modique en livre de poche en magasin (entre 5 ert 6 €) et encore moins cher chez Emmaüs ou en brocante (entre 1 et 0,50 €)
      Bonsoir

  • Dans le Garlaban, et depuis longtemps, il y a sept sources.
    Du temps de Manon des sources, chacun se gardait bien de révéler ses secrets et les sources disparaissaient.

    Saurez vous dire le nom de ces sept sources et saurez vous les localiser sur une carte puis sur le terrain.

    Les photos sont acceptées :-)

  • Bien mauvaise surprise ce dimanche 03 avril, l’olivier de la paix au pied du Garlaban a été abîmé et déraciné, plus rien n’est respecté même dans ces endroits magnifiques et imprégnés... j’enrage !!

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